Certaines personnes ont un vécu particulièrement souffrant. Il faut qu’elles sachent que toute épreuve vécue dans sa vie n’est jamais insurmontable. Si une expérience est vécue, c’est que la personne qui l’expérimente peut complètement la dépasser et la transcender.
Lorsque l’on a parlé en 2012 du calendrier Maya et de la fin du monde, on parlait en réalité de la fin d’un monde. Le monde involutif se termine pour laisser place à un monde évolutif.
Pour que celui-ci émerge, il faut que les blessures d’un grand nombre d’humains soient transcendées, ce qui explique certains schémas de vie particulièrement difficiles à traverser en ce moment.
Lorsqu’une âme, encore dans son plan lumineux originel décide, par exemple d’expérimenter le pardon, l’expérience qui peut lui être présentée sur la Terre, est de naître dans une famille dans laquelle le petit garçon ou la petite fille qu’elle sera subira des agressions sexuelles de son parent.
Une âme qui souhaite faire l’expérience de la liberté pourra s’incarner comme l’aîné(e)d’une famille nombreuse dans laquelle on lui imposera de s’occuper de ses frères et sœurs, puis sera confrontée dans sa vie à des situations entravant sa liberté.
On pourrait dire que ce que l’âme souhaite expérimenter « la fleur au fusil », lorsqu’elle est de l’autre côté, peut être une expérience très difficile à supporter sur le plan terrestre. Mais il n’y a pas d’expérience insurmontable, à partir du moment où elle nous est présentée. Le but de l’incarnation est d’être en capacité de faire résilience de tout ce qui fait voile à notre lumière et de manifester dans la matière toute la lumière d’où l’on vient.

Chaque humain, dès qu’il éveille sa conscience en comprenant les raisons de son vécu rayonne toujours plus et apporte du divin dans la matière.
Alors le monde  de demain se crée dans la résolution, l’acceptation ou la transformation pour chacun, avec courage et avec confiance de toutes ses difficultés.

Avec Amour, pour C.